Des moulins hydrauliques composés d'un moulin à roue pour la farine, d'un moulin à eau pour le lin et d'une maison de meunier sont situés le long de la rivière, nichés dans les berges.

Un espace très agréable, non seulement pour lire et demander des livres et de la documentation, mais aussi pour découvrir des sections muséales et des expositions temporaires. Pour les plus petits, des « Heures du conte » y sont régulièrement organisées.

Un circuit en pleine nature, riche en verdure et en paysages inoubliables. À noter également les nombreux moulins à vent de Moinhos de Argontim qui jalonnent le parcours.

Situé dans une zone d'une extrême beauté naturelle, il présente une collection permanente d'objets archéologiques importants.

Situé sur une petite place, ce pilori en pomme de pin, dont il ne reste que la base et la colonne, possède une base circulaire et une colonne à fût lisse. Il date du XVIe siècle.

Une maison noble aux multiples façades et aux magnifiques jardins, l'une des plus belles de la ville. Construite pour tirer parti de la forte pente du terrain, elle présente plusieurs façades de configurations très différentes, toutes peintes en jaune. Son style est très proche de celui développé par l'architecte Raul Lino dans les années 1900, avec la « vieille maison portugaise ».

Monastère bénédictin composé d'une église longitudinale, d'une nef unique et d'un chœur quadrangulaire. Parmi les éléments décoratifs de l'église, on remarque un tympan sculpté représentant l'Agnus Dei et une figure de saint Michel attaquant un serpent. Le monastère conserve encore la cellule où vécut l'évêque de Grão-Pará après son exil par le marquis de Pombal.

Construit à l'époque romane, il présente des éléments caractéristiques de l'architecture militaire de l'époque, comme le donjon couronné de créneaux et le chemin de ronde. Sa situation géographique et diverses sources documentaires attestent de son existence à cette époque. Il est étroitement lié au monastère voisin de São Bento de Arnoia, où subsistent des vestiges romans.

Monument maniériste marquant le lieu de la bataille d'Ourique, qui aurait eu lieu le 25 juillet 1139. C'est un sanctuaire de pèlerinage, principalement de style XVIe siècle, qui se reflète dans la construction de petites églises à nef unique. Elle présente un arc de triomphe en plein cintre soutenu par des pilastres, et le maître-autel est en bois avec une niche en maçonnerie. Selon la légende, cette chapelle appartient à un groupe de sept chapelles sœurs, toutes visibles les unes des autres : Notre-Dame d'Amparo, à Mértola ; Notre-Dame de Guadalupe, à Serpa ; Notre-Dame de Cola, à Ourique ; …

L'église, construite dans la première moitié du XVIe siècle, présente une architecture manuéline et maniériste. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, elle a subi d'importantes rénovations, notamment le retable, la décoration du chœur, l'arc et la voûte. À la fin du XIXe siècle, le chœur a été construit et les voûtes de la nef ont été décorées. Elle abrite aujourd'hui une maison de retraite.